lettre de george sand à alfred de musset pdf

Lettred'amour de George Sand à Alfred de Musset. Je suis très émue de vous dire que j'ai. bien compris l'autre soir que vous aviez. toujours une envie folle de me faire. danser. Je garde le souvenir de votre. baiser et je voudrais bien que ce soit. là Champde saisie de la recherche : saisissez les premières lettres de votre recherche et parcourez les propositions avec les flèches de direction Effacer le champ de recherche Lancer la recherche sur le scénario Chercher partout LETTRESDE GEORGE SAND A FRANÇOIS BULOZ 357 dans quelques jours, je vous en écrirai le résultat qui ne peut être douteux. S'il y a appel, l'affaire durera six semaines de plus(1). Dans tous les cas j'irai à Paris embrasser mes enfants, et ôter mes meubles du quai Malaquai[s] dans les premiers jours du mois prochain au plus tard. LesLettres d'amour d'Aristenete (Xe siecle) appartiennent au genre de la correspondance fictive : il s'agit d'un echange de lettres entre des courtisanes, sur le modele d'Alciphron (Ille siecle de notre ere).L'edition est fondee sur une collation nouvelle du seul temoin connu, et comporte une traduction francaise tres amelioree.J.R. Vieillefond, au cours d'une tres longue carriere, a edite Sil est un paradis des épistolières, il accordera à George Sand, une place de choix. Les lettres de l’écrivain occupent une part primordiale de sa vie, de son oeuvre. D’aucuns avancent qu’elle en aurait écrit 45.000. Cela me paraît beaucoup; il est vrai qu’aux temps forts de sa résidence à Nohant, elle en écrivait une nonton film who am i jackie chan. Lettre entre Sand et Musset par Alfred de MUSSET Je suis très émue de vous dire que j’ai bien compris l’autre soir que vous aviez toujours une envie folle de me faire danser. Je garde le souvenir de votre baiser et je voudrais bien que ce soit là une preuve que je puisse être aimée par vous. Je suis prête à vous montrer mon affection toute désintéressée et sans cal- cul, et si vous voulez me voir aussi vous dévoiler sans artifice mon âme toute nue, venez me faire une visite. Nous causerons en amis, franchement. Je vous prouverai que je suis la femme sincère, capable de vous offrir l’affection la plus profonde comme la plus étroite amitié, en un mot la meilleure preuve que vous puissiez rêver, puisque votre âme est libre. Pensez que la solitude où j’ha- bite est bien longue, bien dure et souvent difficile. Ainsi en y songeant j’ai l’âme grosse. Accourez donc vite et venez me la faire oublier par l’amour où je veux me mettre Lettre envoyée par Aurore Dupin, dite George SAND son nom de plume à Alfred de MUSSET. La réponse d’Alfred de Musset Quand je mets à vos pieds un éternel hommage, Voulez-vous qu’un instant je change de visage ? Vous avez capturé les sentiments d’un coeur Que pour vous adorer forma le créateur. Je vous chéris, amour, et ma plume en délire Couche sur le papier ce que je n’ose dire. Avec soin de mes vers lisez les premiers mots, Vous saurez quel remède apporter à mes maux. Alfred de Musset ——————— La réponse de George Sand Cette insigne faveur que votre coeur réclame Nuit à ma renommée et répugne à mon âme. George SandPoème posté le 21/07/16 par Rickways Poète Voilà huit jours que je suis parti et je ne t’ai pas encore écrit. J’attendais un moment de calme, il n’y en a plus. Je voulais t’écrire doucement, tranquillement par une belle matinée, te remercier de l’adieu que tu m’as envoyé, il est si bon, si triste, si doux ma chère âme, tu as un cœur d’ange. Je voudrais te parler seulement de mon amour, ah ! George, quel amour ! Jamais homme n’a aimé comme je t’aime. Je suis perdu, vois-tu, je suis noyé, inondé d’amour; je ne sais plus si je vis, si je ma,ge, si je marche, si je respire, si je parle; je sais que je t’aime. Ah ! si tu as eu toute ta vie une soif de bonheur inextinguible, si c’est un bonheur d’être aimée, si tu ne l’as jamais demandé au ciel, oh ! toi, ma vie, mon bien, ma bien-aimée, regarde le soleil, les fleurs, la verdure, le monde ! Tu es aimée, dis-toi, cela autant que Dieu peut être aimé par ses lévites, par ses amants, par ses martyrs ! Je t’aime, ô ma chair et mon sanf ! Je meurs d’amour, d’un amour sans fin, sans nom, insensé, désespéré, perdu ! Tu es aimée, adorée, idolâtrée jusqu’à en mourir ! Et non, je ne guérirai pas. Et non, je n’essaierai pas de vivre ; et j’aime mieux cela, et mourir en t’aimant vaut mieux que de vivre. Je me soucie bien de ce qu’ils en diront. Ils disent que tu as un autre amant. Je le sais bien, j’en meurs, mais j’aime, j’aime, j’aime. Qu’ils m’empêchent d’aimer ! Vois-tu, lorsque je suis parti, je n’ai pu souffrir; il n’y avait pas de place dans mon cœur. Je t’avais tenue dans mes bras, ô mon corps adoré ! Je t’avais pressée sur cette blessure chérie ! Je suis parti sans savoir ce que je faisais ; je ne sais si ma mère était triste, je crois que non, je l’ai embrassée, je suis parti ; je n’ai rien dit, j’avais le souffle de tes lèvres sur les miennes, je te respirais encore. Ah ! George, tu as été tranquille et heureuse là-bas. Tu n’avais rien perdu. Mais sais-tu ce que c’est que d’attendre un baiser cinq mois ! Sais-tu ce que c’est pour un pauvre coeur qui a senti pendant cinq mois, jour après jour, heure après heure, la vie l’abandonner, le froid de la tombe descendre lentement dans la solitude, la mort et l’oubli tomber goutte à goutte comme la neige, sais-tu ce que c’est pour un coeur serré jusqu’à cesser de battre, de se dilater un moment, de se rouvrir comme une pauvre fleur mourante, et de boire encore une goutte de rosée, vivifiante , Oh, mon Dieu, je le sentais bien, je le savais, il ne fallait pas nous revoir. Maintenant c’est fini ; je m’étais dit qu’il fallait revivre, qu’il fallait prendre un autre amour, oublier le tien, avoir le courage J’essayais, je tentais du moins. Mais maintenant, écoute, j’aime mieux ma souffrance que la vie ; vois-tu, tu te rétracterais que cela ne servirait de rien ; tu veux bien que je t’aime ; ton coeur le veut, tu ne diras pas le contraire, et moi, je suis perdu. Vois-tu, je ne réponds plus de rien. Comédie en un acte et en prose, publiée en 1851 et représentée pour la première fois sur le théâtre du Gymnase dramatique, le 30 octobre 1851. Distribution 5 hommes, 1 femme Texte à télécharger gratuitement sur Libre Théâtre L’argument Bettine est une jeune et jolie cantatrice italienne qui a quitté le monde de l’opéra par amour pour le baron de Steinberg. Il doit l’épouser mais alors que le notaire est déjà présent, le baron informe son fidèle domestique Calabre qu’il doit se rendre chez la voisine, une princesse il a perdu au jeu et doit une forte somme d’argent. Arrive le marquis Stéfani, un admirateur de Bettine… Quelques illustrations Théâtre d’Alfred de Musset. Tome IV. dessins de Charles Delort gravés par Boilvin, 1891/ Source BnF/Gallica Oeuvres complètes d’Alfred de Musset, illustrées par Charles Martin, 1927. Source BnF/Gallica Oeuvres complètes d’Alfred de Musset, illustrées par Charles Martin, 1927. Source BnF/Gallica Lien vers le Théâtre de Musset sur Libre Théâtre Lien vers la Biographie d’Alfred de Musset sur Libre Théâtre

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